Une députée marnaise dit non au harcèlement sexuel

Une collaboratrice parlementaire sur cinq affirme avoir été victime d’une agression à caractère sexuel à l’Assemblée nationale, selon une enquête menée par un collectif d’assistantes de députés.

Plusieurs élus du Palais Bourbon leur apportent leur soutien et réclament des mesures d'urgence contre le harcèlement sexuel au sein du palais Bourbon, dans un courrier adressé au président de l’Assemblée Nationale, Richard Ferrand.

La députée marnaise de la République en Marche, Aïna Kuric fait partie des signataires.

Elle pense que pour combattre efficacement ce fléau, il faut déjà changer certaines règles au parlement français, comme le gel de "la clause de loyauté".

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Autres propositions du collectif :  la mise en place d’une cellule d’écoute pour les victimes.