Il y a un an, la France s'arrêtait

Matinée spéciale sur Champagne FM à l’occasion du premier anniversaire du confinement.

Le 17 mars 2020 à midi, la France se figeait.

Une mesure annoncée la veille (16 mars) par Emmanuel Macron.

Lors d’une allocution télévisée, le chef de l’Etat précise à plusieurs reprises que « nous sommes en guerre ».

 

Attestations SVP !

Christophe Castaner, le ministre de l'Intérieur de l’époque, précise les modalités du confinement.

Pour sortir de leur domicile, les Français doivent se munir d'une attestation de déplacement dérogatoire.

Parmi les motifs autorisés, aller au travail, faire les courses, se rendre à un rendez-vous médical ou sortir son chien.

 

Les contrevenants s’exposent à une amende de 135 euros. 

Policiers et gendarmes sont mobilisés pour effectuer des contrôles. 

 

Villes fantômes

Sur les réseaux sociaux, apparaissent des images de villes totalement désertées.

 

Reims, 12h30, ce 17 mars 2020. pic.twitter.com/YFGx95IcqH

— Charles-Henry Boudet (@CharlyBoudet) March 17, 2020

La course aux courses

Parmi les priorités des Français, le ravitaillement.

Il faut faire la queue devant les commerces alimentaires.

Les rayons des grandes surfaces se vident de certaines denrées : âtes, riz, conserves, farine et…papier toilette.

 

Réunion à la maison

Les Français doivent adopter de nouvelles habitudes de vie mais aussi de travail.

Le télétravail devient la règle.

Les réunions se font en visioconférence depuis nos salons, non sans difficultés. 

Autre nouveauté, les parents s’improvisent  enseignants pour assurer la continuité de l’école à la maison... avec plus ou moins de patience et de réussite.

Applaudissements  

Les initiatives se multiplient pour remercier ceux qui luttent en première ligne contre la pandémie, les personnels soignants évidemment mais aussi les éboueurs, caissières….

Tous les soirs, des applaudissements se font entendre depuis les fenêtres, balcons et jardins pour célébrer les nouveaux héros du quotidien.

(Photo L'Est Eclair)